Comme toujours tu me surprends,
Et demain je ne te reconnais plus.
Qui es-tu pour changer si souvent ?
En moi demeure un cœur perdu.
L’attente dans cette pièce,
Dans le froid de décembre,
Révèle en moi une tristesse,
Qui me rappelle cette chambre.
Où l’oubli de tes phrases,
De tes silences de ton sourire,
Me fait perdre la face,
Dans le fond de mon ennui.
Parce qu’un beau jour surement,
Je me relèverai fièrement.
De cette histoire passée je ne retiendrai,
Que cette image volée et l’espoir qui renait.